





Imaginez : vous sortez de la forêt, mains rudes, regard clair, odeur de mousse sur la veste. Dans votre poche ? Un José Da Cruz en bois de cerf, 19 cm de virilité artisanale, prêt à trancher la corde, la viande ou l’évidence.
Ce n’est pas un couteau, c’est une poignée d’instinct animal, un bois durci par le temps, une lame de carbone bien noircie prête à se faire les dents. Et pour l’apprivoiser : une virole en laiton moleté, vissée comme une promesse — celle que la lame ne bronche pas, même quand vous forcez un peu.
Le carbone, c’est vivant. Il s’oxyde, il noircit, il prend une patine qui raconte votre usage. Un petit coup d’huile alimentaire de temps en temps, un chiffon doux après l’usage, et surtout : pas de lave-vaisselle, jamais. Le bois de cerf aime les gens soigneux.
Est-ce que chaque couteau est différent ?
Oui. Le bois de cerf étant une matière naturelle, chaque manche est unique : texture, courbure, couleur.
Est-ce un couteau de chasse ?
Il en a l’âme. C’est un couteau rustique et pratique, parfait pour la nature, la cuisine sauvage ou la collection.
On peut le porter tous les jours ?
Absolument, c’est un couteau pliant. Et avec la virole, il tient bien en main.
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